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Are you okay ? + Fauve & Oscar

I.Admin
Oscar Davies
Oscar Davies
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Ma bouille : Are you okay ? + Fauve & Oscar B2b5a472e42eb818fb9b5cafb8573e539da25ac7
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Are you okay ?

@Fauve Katz

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Devant la porte de ta cousine, tu réfléchis avant d'appuyer sur la sonnette. Tu as peur de la déranger. En général, tu ne te poses pas ce genre de question et tu fonces dans le tas. Un de tes pires défauts. Mais avec Fauve, tu fais un peu plus attention. C'est ta cousine, tu la considères toujours comme cette petite chose délicate et fragile. Si seulement tu savais qu'elle ne l'est pas tant. Ces quelque temps, tu t'inquiètes pour Fauve, tu la trouves plus renfermée, tu te demandes ce qui se passe. Tu sens qu'il se passe quelque chose, mais tu ne sais pas quoi. Ce n'est pas que ton côté curieux qui est titillé, mais aussi ton côté inquiet. Sous tes airs de pas doué, tu veux toujours tout faire pour tes proches, ce qui te rend un peu moins benêt. Tu finis par appuyer sur la sonnette. La porte s'ouvre sur le visage de Fauve (en même temps qui d'autre t'aurait ouvert la porte). Tu la trouves pâle et fatiguée. Tu fais comme si de rien n'était. Tu lèves les bras au ciel, affichant un grand sourire.

Visite surprise de ton cousin préféré !!

Tu ne sais pas vraiment si tu es son cousin préféré. En tout cas, Fauve est celle que tu vois le plus. Même plus que ton frère et ta soeur. Bon, en même temps, ils sont restés sur la côte ouest du pays. En général, tu ne rentres que pour les fêtes. Enfin, ce n'est pas le sujet. Aujourd'hui, tu te concentres sur Fauve.

Ça va ? Tu as une petite mine ? En tout cas, j'ai pris des remontants.

Tu lèves la main, montrant le pack de bières que tu as ramené. Ne jamais arriver quelque part les mains vides, c'est une de tes règles d'or.

Où est ma nièce préférée ?

Tu aimes bien les enfants, encore plus ceux de ta famille. Tu n'en as pas, mais tu aimerais avoir une grande famille. La fille de Fauve est adorable, et tu aimes bien jouer les tontons gâteaux avec elle, attendant d'avoir tes propres enfants.

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c'est vrai que depuis un moment déjà, tu ne sors pas beaucoup et tu te fais discrète. toujours aux aguets, toujours en alerte, l'instinct de protection qui prend le dessus et qui évidemment a pris de la place depuis l'arrivée de ta fille dans ta vie. maman lionne, tu te veux protectrice; impossible que l'on puisse toucher à l'un de ses cheveux sans songer devoir te passer sur le corps en premier. heureusement, malgré tout; tu es relativement bien entourée. tu peux compter sur une petite garde rapprochée et parmi eux; il y a oscar. c'est ton cousin, celui que tu considères comme un frère puisque tu es enfant unique. il a pris rapidement un rôle important dans ta vie et surtout celle de ta fille. il est une sorte de figure masculine pour elle, la fillette l'adore et elle a toujours le sourire lorsqu'elle l'aperçoit. ça t'apaises de savoir que si jamais il venait qu'à t'arriver quelque chose; billie serait entourée par cette garde rapprochée et protéger de tous les dangers. d'ailleurs, tu es posée au salon avec ta précieuse; vous vous créer des histoires avec ses figurines et durant ces moments imaginaires; tu t'évades avec elle et tu oublies le reste; tu oublies tes angoisses et tes craintes les plus grandes. on vient à frapper à la porte, ton visage se tourne vers celle-ci, tu fixes un moment la porte en réfléchissant est-ce que tu attendais quelqu'un? pas dans ton souvenir en tout cas. tu déposes un baiser au sommet du crâne de ta fille, celle-ci continue de garder ses figurines entre ces petits mains. tu te lèves quittant le salon pour te rendre à l'entrée. automatiquement, tu as le coeur qui s'emballe malgré toi. tu prends une inspiration et t'ouvres et c'est le soulagement lorsque tu croises ce visage familier. tu ne peux pas t'empêcher de sourire, malgré la fatigue qui peut se lire sur ton visage. t'es heureuse de le voir, comme toujours. "en même temps j'ai que toi, comme cousin..." que tu laisses glisser amusé, mais tu reprends aussitôt. " mais t'es le meilleur c'est vrai." tes yeux clairs se posent sur le pack de bières et tu lui fais signe d'entrer refermant derrière et prenant soin de bien verrouiller évidemment. il vient à demander où es sa nièce préféré et tu prends la direction du salon où la fillette se trouve, elle n'a même pas remarqué votre présence. "billie, regarde qui est là.." un léger délai et la fillette se retourne et automatiquement un visage se glisse sur son visage. cela gonfle ton coeur à chaque fois, elle est tellement mignonne lorsqu'elle sourit. jeune encore, elle se contente de tendre les bras vers son tonton préféré, ce qui te fait encore plus sourire. billie est tellement douce; parfois tu te demandes de qui elle peut tenir cela. tu ne te considères pas la plus douce et son père évidemment, n'en parlons même pas, quoi que.. tu le libères prenant le pack de bières pour qu'il puisse aller prendre sa nièce. tu en profites pour aller mettre les consommations au frigo en attendant, toujours plus agréable de boire une bière fraîche. "je crois que billie s'est ennuyée.." que tu souffles un bout d'un moment revenant dans le salon. la scène est tellement mignonne que là encore, ton petit coeur se serre. tu réalises que l'absence d'un père dans sa vie ça créer des impacts. tu essaies de "jouer" les deux rôles, mais c'est impossible évidemment. tu ne pourras jamais être son père véritablement.
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Are you okay ?

@Fauve Katz

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En général, tu ne fais pas trop de vagues. Sans être discret (on ne peut pas dire que tu le sois), tu ne te mêles pas trop de la vie des autres. Sauf quand il s'agit de tes proches, quand tu sens que quelque chose ne va pas, là tu ne peux pas t'empêcher de t'inquiéter et d'aller à la pêche aux infos. Et c'est justement le cas avec Fauve. Tu as des souvenirs de ta cousine, pétillante, pleine de vie, bavarde et là, tu n'as plus aucune de ses nouvelles. Tu sais que ce n'est pas normal et l'inquiétude s'empare de toi. Tu ne sais pas ce qui se passe dans sa tête, mais tu es bien déterminé à le découvrir. Tu débarques sans prévenir.

Je suis peut-être le seul, mais je reste quand même le meilleur !

Tu rentres dans le logement tandis que Fauve fait attention à bien tout fermer derrière elle. Tu es un peu étonné de cela, mais tu ne le soulèves pas. Tu lui poseras des questions plus tard. Pour l'instant, tu fais comme si de rien n'était. En attendant, tu te concentres sur la petite tête qui arrive vers toi. Tu prends Billie dans tes bras, la faisant tourner avant de déposer un baiser sur sa joue.

Mais la vache ! Tu as encore grandi ! Tu vas bientôt me dépasser !" dis-tu en riant.

Enfin, du haut de ton 1m83, il faudra qu'elle mange beaucoup de soupe si elle espère pouvoir te dépasser un jour. L'enfant te raconte ces dernières journées, ce qu'elle a fait à l'école et se précipite vers son sac pour te montrer ses derniers dessins. Pendant ce temps, Fauve revient dans le salon, disant dans un soupir que Billie s'est ennuyée ces derniers temps.

Ah bon ? Pourquoi ?

Tu ne peux pas t'empêcher de remarquer que Fauve a un air triste. Tu remarques ces cernes sous ses yeux, comme si elle n'avait pas dormi depuis des jours. Tout comme sa paleur. Tu vois bien que son esprit est préoccupé par quelque chose. Si seulement tu savais quoi...

Fauve ? Tout va bien en ce moment ?

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La fillette a toujours adorée Oscar, présence significative pour elle. Un être tellement important dans la vie des deux filles, la stabilité dans son monde parfois chaotique. Évidemment, Oscar n'a jamais été au courant des activités qu'elle exerçait, cette facilité à avoir de l'argent dans son compte en banque. Fauve a toujours voulu le tenir loin de tout cela pour sa sécurité évidemment, mais aussi la sienne. Encore plus aujourd'hui, avec un enfant sous les bras; elle devait être encore plus prudente et beaucoup moins tête brûlée qu'à une certaine époque. Époque qui semble tellement lointaine et parfois la sensation que c'était hier encore qu'elle prenait la fuite. Bien sûr, sa cavale a laissé des séquelles importantes autant physique de psychologique; la belle brune est toujours en alerte, toujours à l'affut du moindre danger potentiel. Elle sait qu'en quittant de cette façon, elle risque d'avoir des répercussions si jamais on mettait la main sur elle. Juste à y penser, elle frissonne d'angoisse. Elle serait prête à assumer son sort, mais elle refuse qu'on puisse toucher à Billie et encore moins, qu'elle devienne orpheline. Là encore, juste à y songer ça l'empêche souvent de fermer l'oeil la nuit. Il n'est pas rare, qu'elle fasse des nuits blanches à simplement veiller sur sa fille; les cernes et la pâleur de sa peau en témoigne. Elle aspire à ce que la tranquillité vienne s'installer, mais elle sait qu'elle a des démons à chasser avant de pouvoir trouver une paix totale. La belle brune observe la scène ce doux sourire aux lèvres en voyant sa gamine sourire le regard plongé dans celui de son cousin. "Oh doucement... je trouve déjà que ça va trop vite. Elle aura bien le temps de te dépasser le temps venu." Qu'elle balance Fauve dans un air amusé, puis elle mentionne que sa fille s'est ennuyée. "Parce que je suis une pauvre mère indigne et que je t'ai pas donné de nouvelles ni d'invitation pour que tu viennes la voir, alors elle s'est ennuyé de toi." Qu'elle explique simplement s'avançant au salon. Il vient à poser la question que tu redoutais. Est-ce que tu vas bien? Tu as déjà connu pire, alors tu trouves que ça va relativement bien; mais tu sais que ça pourrait aller mieux aussi. " Ouais ça va." Qu'elle balance venant plonger ses prunelles dans ceux de son cousin, elle essaie de se montrer la plus convaincante possible, elle essaie de se convaincre aussi peut-être à quelque part. " Et toi alors, comment vas-tu?" Elle retourne la question simplement, elle espère qu'il ne va pas insister d'avantage; elle espère qu'il comprendra le message, elle ne veut pas s'ouvrir sur le sujet. Elle doit encore valider intérieurement jusqu'où, elle peut aller dans la confession. Elle doit demeurer prudente toujours, c'est primordiale. Elle ne peut pas se permettre aucune frasque.
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Oscar Davies
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Are you okay ?

@Fauve Katz

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Tu trouves cela touchant la manière dont un enfant arrive à illuminer une pièce par leur présence. Tu es arrivé, inquiet pour Fauve, mais en voyant ta nièce, tu oublies cela quelques secondes. Son rire se mêle au tien et le grand enfant que tu es commence déjà à faire l'idiot avec elle, tirant la langue pour lui faire des grimaces. Tu fais souvent le gars je m'en foutiste, one life, qui se moque de tout, mais dans le fond, tu rêves du jour où tu auras ta propre famille, quand tu auras des enfants. Ça fait peut-être prétentieux, mais tu sais que tu seras un bon père. Tu sais que tu mettrais tes enfants au centre de ton monde. Tu le fais déjà pour tes proches. Alors pour la chaire de ta chaire...

Si tu as peur qu'elle grandisse trop vite, ne lui fais pas manger de soupe alors." dis-tu sur le ton de l'humour.

L'enfant sautille sur place, disant qu'elle adore la soupe et qu'elle est prête à en prendre plein pour devenir la plus grande fille du monde.

Tu sais, il n'y a pas besoin d'invitation pour que je vienne. La preuve ! Et l'inverse est vrai. Vous pouvez venir chez moi quand vous voulez... Bon, il faut juste que Soledad ne soit pas dans le coin.

Contrairement à toi, ta colocataire n'aime pas du tout les enfants. Et même si l'envie de l'embêter est tentante, tu n'as pas envie que ça cause des problèmes à Billie. Au pire, si elles se décident de venir, vous irez au parc. Même si tu adores voir ta nièce, ce n'est pas pour cette raison que tu es venue, mais plus pour prendre des nouvelles de ta cousine. La réponse qu'elle te donne ne te convint pas. Et tu vois bien qu'elle essaye de changer de sujet, mais tu n'as pas envie de baisser les bras. Tant pis si tu dois être agaçant.

Tu es sûre ? Tu sais, tu peux tout me dire. C'est à ça que sert la famille.

Tu lui souris, espérant qu'elle comprenne bien que, quelque soit la situation, tu ne la jugeras jamais.

De toute façon, tu ne pourras pas faire pire que moi. C'est moi le boulet de la famille.

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