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gencives avinées (luke)

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“ gencives avinées ”
Tu marches frénétiquement. Tes pas, si on les suivait, traceraient ce même cercle à l'infini. Tourner en rond, c'est ça. Tu tournes en rond, nerveuse, triturant le bout de tes phalanges, égratignant tes cuticules, presque jusqu'au sang. Louis passe sa main dans sa chevelure lisse et soupire. Il a sur le visage cette moue exaspérée, ressort de lui le visage d'un gosse habitué à ce que l'on comble ses caprices. Pas là. Il est vingt heures trente-sept, tu lis cela sur les aiguilles qui défilent sur ta montre. Celle que ton père t'a offerte à ta communion, tu te remémores la robe blanche, la dentelle qui tombait sur tes genoux d'adolescente. Depuis que le silence règne, ta tête s'emplit de souvenirs qui s'évaporent à la seconde. Des flashs qui te parcourent le corps. On entend quelques coups de batterie dans le studio d'à côté, et parfois quelques prépubères traversent le couloir en vous regardant, admiratifs. Tu avais oublié cette sensation là, ces regards qui te transpercent, cette douce émotion d'appartenir à un rang proche du divin. Celui de la star. Enfin, tu ne l'avais pas oublié. Mais, c'est le genre de sentiment qui s'échappe au moindre courant d'air et se rattrape au moindre regard attendri et rêveur qu'on vous jette. T'aimes inspirer ça. Et, ça te dégoûte d'aimer ça, mais il n'empêche qu'alors même que tu tournes en rond pour vivre ton tracas, tu perçois toutes ces attentions éphémères qu'on vous porte, et ton ego jouit. C'est Louis qui se décide à casser l'impatience et qui lâche en soufflant:

 “ Bon. Allez. Je me tire. On va prendre un coup ? ”.

Lewis relève le bout de son nez et hoche mollement de la tête, acceptant à contrecœur la proposition. Louis renfile sa veste bien trop luxueuse, Lewis visse d'autant plus fort sa casquette à son front et ils se mettent indolemment en route jusqu'à la sortie. Regard vers toi, qui, sans même que tu t'en sois rendue compte, a cessé de faire les cent pas et t'es immobilisée. Nette.

Qu'est-ce que tu fous ? ”. 

T'en sais rien, t'en sais vraiment rien de ce que t'es en train de foutre. Pourquoi tu restes à attendre Luke qui vous a tout bonnement foutu un lapin ? Pourquoi, toi, tu lâches pas l'affaire ? Pourquoi, toi, t'y crois encore ? Qu'est-ce que tu fous ? Mais, oui, bordel, qu'est-ce que tu fous ?

Zoya ? ”.
Inspire. Expire. Là. Une seconde. Maintenant.  
Je vais l'attendre, on sait jamais. ”.  

Tu sens leurs regards désapprobateurs mais alors que Louis veut reprendre la parole, Lewis l'embarque avec lui, l'air de dire laisse-la faire. Faire quoi, tu n'en sais rien encore, mais, tu espères qu'à la seconde où il passera le seuil de la porte, ça t'illuminera telle une épiphanie. La moquette grisâtre, tu la connais maintenant par cœur. Parfois, on te propose un café, un verre d'eau. Des fois, oui, des fois, non. Parfois, quelques cigarettes devant la bâtisse. Deux heures que tu es là, à espérer un miracle, une apparition. Parfois, tu ris avec le gars de l'accueil. Il est marrant, il a ce large tee-shirt qui flotte sur les côtes, et un bouton d'acné sur la pente du menton. Parfois, relire les partitions, prétendre bosser. Prendre soin des apparences. Qu'on ne te prenne pas pour l'imbécile qui attend son ami qui ne viendra jamais. Tu n'es pas folle, tu le sens dans tes genoux, dans tes oreilles, l'instinct fort et puissant qu'il viendra. Une confiance inébranlable et pourtant, comme un vase se craquelle sous la gravité, quelques éclats, quelques brisures. T'enfiles tes écouteurs. Parfois, tes hanches trahissent le rythme doucereux des Aphrodite's Child.

You should come with me to the end of the world,
Without telling your parents and your friends.
You know that you only need to say the word,
So end my play with the end of the world.


Putain, mais quel con. T'imagines sa tête, t'imagines cet instant dingue, cette fraction de seconde où tu le reconnaîtras à l'entrée. Et t'as envie de rugir, de lui rappeler tout ce qu'il a à perdre, dans quel état il fout les autres, que cette pause à la con, vous l'avez faite pour lui. Et, alors, tu te sens toute petite. Tu imagines tous les pires scénarios. Et s'il s'était fait écraser par un camion, mordre par une sangsue, attaquer par un vilain archétype de bande dessinée, tu rembobines les images, les photographies fantasmées et cauchemardées. La vérité, c'est que tu sais. Et Louis, Lewis savent aussi. Tu sais bien où il est, tu sais bien qu'il titube, tu sais bien qu'il pue le bourbon, tu sais bien qu'il a les yeux brillants, tu sais bien quels démons le tourment, tu sais bien qu'il a rendez-vous avec ses fantômes et ses regrets, tu sais bien tout cela. Alors, tu attends comme une idiote.

But I know that I'll go away by myself,
I feel you don't want to come.


Tu as remis ta lourde parka grise au dessus de ton débardeur noir, et tu t'assieds sur les quelques marches devant le studio. Tu t'en grilles une. Une autre. Tu les enchaînes. Putain. Vingt-trois heures. La montre ne trahit pas. Tu sens que même cet objet de rien du tout t'observe avec pitié. La pauvre petite. A croire encore en ses amis déchirés. Tu crois que peut-être, un maigre peut-être mais peut-être que, tout de même, ce sont ces moments qui compteront. Ces moments où tu l'auras attendu toute la soirée dans un studio qui se vide. Ces moments où tu auras cru en lui, là où d'autres abandonnent. Ces moments où les cigarettes s'égrainent comme dans un sablier. Ces moments où le temps se dilate et la nuit obstrue l'esprit. Tu veux y croire. Tu écrases ton énième cigarette sur le pavé froid. Et là. Là, tout se fige. Tu le vois.


 
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Luke Williams
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Gencives Avinées.



Bip. Biiiiip. BIIIIIIP ! Ton réveil hurle de plus en plus fort. Tu tâtonnes ta table de chevet avant de récupérer ton portable, éteindre l'alarme et le laisser retomber dans tes draps. Encore cinq petites minutes, tu n'es pas prêt à te lever. Il est trop tôt. Puis, tout ton corps est lourd, surtout ta tête. Tu as ce mal de crâne qui t'assomme, te rend léthargique. Tu le connais trop bien ce mal de tête. On pourrait croire que l'ont fini par s'y habituer, mais il est toujours aussi pénible et de plus en plus oppressant. Tu réfléchis rapidement. Tu ne te souviens même plus comment tu es arrivé dans ton lit. Ton dernier souvenir, c'est toi sur ton canapé, un verre de whisky à la main. Bien évidemment, il y a celui de trop, celui qui t'a fait basculer, comme de nombreux autres, mais aider par les autres verres que tu as engloutis, ton cerveau est devenu un vrai trou noir. Tu restes allongé, les yeux fermés, essayant de prendre de grandes inspirations pour atténuer ton mal de crâne. Le seul effet que ça a, c'est que tu te rendors. C'était une évidence. Mais tu ne fais aucun effort pour sortir de ton lit et tu sombres à nouveau dans le sommeil, tu en as besoin. Lorsque tu rouvres les yeux, la nuit s’est déjà installée. Merde ! Tu as dormi toute la journée ?! Depuis combien de temps cela n’était pas arrivé ? Tu t’assois sur le bord de ton lit, passant une main sur ton visage, avant de t’étirer, pour essayer de te réveiller. Ton corps et ton esprit sont encore un peu endormis. C’est pour cela que tu ne réalises pas tout de suite que tu es dans la merde. C’est quand tu t’es levé, pour aller chercher un verre d’eau dans la cuisine et en regardant tes messages, que tu réalises ta connerie. Tu vois les appels manqués et les sms qui te demandent ce que tu fous. La répétition, tu avais complétement oublié. Tu avales ton verre d’eau d’une traite et tu te dépêches. Du moins, du mieux que tu peux, car ton estomac est encore nauséeux. Depuis quand on met autant de temps à se remettre d’une cuite ? Tu es pourtant plus habitué que ça normalement, même si c’est triste à dire, et tu te fais la réflexion qu'hier soir, tu as dû tiser encore plus que d’habitude, ce qui est déjà assez élevé. Au moins, une fois dehors, l’air frais te réveille un petit peu, tu n’aurais peut-être pas l’air d’un zombie en arrivant au studio. Tu sautes dans le premier taxi que tu vois, regardant ton portable, hésitant à envoyer un message. Pour quoi faire ? Le mal est déjà fait de toute façon. Tu arrives assez rapidement, lâche des billets au conducteur et tu vois Zoya sur les marches du studios.

- J’suis désolé, je me suis rendormi et..."

Mais à la voir seule, à son expression, les lumières éteintes à travers les vitres, tu devines très clairement ce qu’il s’est passé.

- Les mecs sont partis ?"

La culpabilité te prend. Putain, tu as encore fait de la merde. On pourrait se dire que ce n’est qu’une répétition, qu’il y en aura d’autres, mais tu sais que tes actions emmerdent tout le monde. Tu aimeras te dire que tu ne fais pas exprès, mais ce n’est que la conséquence de tes actions, les autres, ils ne sont en rien fautifs. Ils payent juste les pots cassés. Putain de culpabilité, qui te fait sentir comme une merde. Tu essayes de réprimer ce mauvais sentiment, ton amour-propre qui se détériore de plus en plus, car si tu pars dans des pensées négatives, tu ne connais qu’une seule chose pour les faire taire. Et c’est ce qui t’a emmené dans cette situation.

- J’suis désolé Zoya" tu répètes, levant vers elle, ton regard le plus coupable.


@Zoya Nowak & Luke ❥
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(merci à plumette :coeur: )

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“ gencives avinées ”
Tu as déjà vu cette vidéo sur internet, tu l'as déjà vu mille fois. Tu sais, celle où un hamster rondouillet se frotte à une mûre et d'un coup, d'un seul, se fige. Net. On dirait presque qu'il est mort. Il y a aussi ces vidéos à la con où les chiens prétendent clamser, sur le dos, les pattes en l'air. T'as cette impression de jouer à l'animal pétrifié, toi aussi. La biche éclairée par les phares pétants d'une Rolls. Tu sais pas où regarder mais tu le dévisages, malgré toi. Le reste de ton corps, de ton visage, tout se statufie. De la pâte à sel dans le four. Flash. Sylvia Plath avec un tablier, la tête dans son four. Un léger filet de bave et... Oui, elle s'est pissée. Pourquoi tu penses à ça ? Raccroche, atterris. Oui, lui, là, qui débarque comme une fleur, file quelques billets au conducteur, et te rejoint penaud. Il présente ses excuses, ça, t'as l'habitude, il commence à se justifier. Peine perdue. Il s'arrête en pleine course. Ca, c'est nouveau. Usuellement, il vous couvre d'arguments, de raisons insensées mais souvent sincères. Il n'en prend plus la peine. Fini de bluffer, cartes sur table.  Il te demande si les autres sont partis. Quelle ironie. Tu regardes à ta gauche, à ta droite, l'air de dire soit t'es myope, soit t'es con, mais réveille toi, tu vois bien qu'il n'y a que moi. Tu retrousses tes lèvres légèrement gercées par l'abrupt hiver, sourcils haussés, bien hauts, bien dédaigneux, bien sarcastiques. Non, il n'y a plus personne. Que toi. Peut-être que t'aurais du le laisser affronter sa désillusion tout seul, qu'il se retrouve comme un gland devant le bâtiment morne. T'as pas cœur à ça. Il regarde ses chaussures, honteux, comme un chien la queue entre les jambes, le regard fuyant après avoir cassé le précieux vase hérité de grand-mère. Il a déjà honte, il pue la culpabilité. Pas tant l'alcool. Il faut croire que le vent glacé l'aura peut-être secoué même si tout en lui semble embué. Le nuage des nuits d'ivresse dégoulinante.

Entendre ton prénom dans sa bouche, ça te provoque un éclair à l'intérieur. Ca gigote. Tu essaies de calmer tes pieds qui tapent nerveusement sur le béton humide. Ton regard se perd; tu regardes ses yeux, ses mains, ses pieds, sa bouche, ses cheveux. Inspection. Autopsie d'un cadavre encore en vie. Du jamais vu. T'inspires, allez, calme. Calme le jeu, calme la bête, ne le dévore pas comme tu sais si bien le faire. Tu sais l'effet que ça lui ferait une soufflante de ta part. A la limite, si c'était Louis, il le trouverait exigeant, voire pédant, et même s'il s'en voudrait, il passerait rapidement à autre chose. Une autre pinte, par exemple. Mais là, tout au fond de toi, tu vois la fêlure et si tu hausses la voix, comme à l'opéra, la douce verrerie exploserait. Un éléphant dans une boutique de porcelaine. Des sentiments dans une poitrine fragile. Tu l'examines, tu essaies de lire en lui quelque chose qu'il n'oserait pas dire. Mais tout est dit, tout est là. Lui et toi, vous savez. Pas de comédie, pas d'air faussement surpris, la vérité. Rien que la vérité.

Tu devrais peut-être le rassurer, lui dire que ce n'est pas grave. Le coeur n'y est pas. Tu tournes sept fois ta langue dans ta bouche. Et tu dis:

On fait un tour ? J'ai besoin de me dégourdir les jambes. ”.  

Sourire un peu triste, oui, parce que toi-même tu l'es un peu. Triste. Flash. Les yeux de Sylvia Plath qui se ferment pour la toute dernière fois. Les yeux de Luke, c'est un peu comme ça. Quelque chose tout proche du précipice. Merde. Tu t'accroches à son bras pour te relever, tu te hisses avec vivacité. Ne pas le plomber plus qu'il n'est déjà enterré dans sa mélancolie. Alors tu lui souris, même si le rictus te trahit. Toi-même, tes yeux, quelque chose est proche du gouffre. Tu essaies de masquer la moue de la pitié mais tu ne peux pas t'empêcher. Il te fait pitié, le chien qui se flagelle après sa bêtise. Luke, ses yeux, son corps. Tu gardes ton bras accroché au sien, et tu commences ta flânerie dans le quartier, tu lui jettes des coups d'oeil alertes. Ton père aussi buvait parfois trop après de longues missions, oublier les images et leurs bruits. Tu savais le reconnaître à sa façon de tanguer, à la brillance de ses yeux et à l'odeur. Et mine de rien, sans même t'en rendre compte, tu reproduis le schéma. Tu vérifies qu'il marche droit, que ses yeux ne sont pas vitreux, et tu essaies de reconnaître son parfum. Tu devrais pas avoir à faire tout ça. Tu te sens mal. Tu voudrais ne pas faire ça mais ça te dépasse. Avant d'entamer une quelconque conversation sérieuse, tu veux t'assurer d'avoir affaire à Luke. Pas à son fantôme des paradis artificiels.

Alors, tu t'es rendormi ..? ”.  

Tu ris, malgré toi. Quelle excuse à la con. Comme le chien qui bouffe les copies.

Pourquoi tu penses autant aux chiens, aujourd'hui ?

Il t'en faudrait peut-être un.

Non, quitte à choisir, prend un ours.

Arrête de te déconcentrer. Merde.

Luke et les excuses bidons.

Voilà, c'est ça.



 
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Luke Williams
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Gencives Avinées.



Tu le vois sur le visage de Zoya. La déception. Ou alors, est-ce une interprétation de ton ressentiment envers toi ? Car oui, tu te déçois. Tu n'avais pas grand-chose à faire. Juste te lever, arriver au studio, jouer… Et pourtant, tu as réussi à foirer ça. Tu sais qu’elle en est la raison. C'est l'alcool que tu n'as pas pu t'empêcher de boire qui t'a tiré au fond de ton lit. Mais l'exprimer à voix haute reviendrait à avouer que tu as un souci. Et tu n'es pas encore prêt pour ça. Tu ne sais même pas si tu as envie d'aller mieux. Il y a quelque chose de sécurisant dans le fait de s'enivrer, s'assommer au point de ne plus penser à rien. Mais la contrepartie est encore plus violente. Mais pour l'instant, tu fais comme si de rien n'était. Tu te retrouves devant Zoya et tu joues les innocents. Tu sais qu'elle n'est pas idiote, qu'elle doit bien se douter de quelque chose, mais tu ne dis rien de plus. Tu verras si elle aborde le sujet d'elle-même... Tu ne sais même pas ce qu'elle dira si c'est le cas.

- Euh... Ouais, allons marcher."

Tu remarques qu'elle n'a pas répondu à ta question, mais ça doit être le cas. Tu sens qu'il y a une raison cachée derrière cette balade improvisée. Mais tu ne prononças rien de plus, tendant juste ta main pour aider la blonde à se relever. Ton amie te redemande si tu t'étais rendormi, comme si elle en doutait. Bien sûr qu'elle en doute, même toi tu n'es pas convaincu par tes excuses. Tu te masses la nuque, un peu mal à l'aise.

- Ouais, je suis pas mal fatigué en ce moment. Peut-être que je couve quelque chose."

Tout le monde s'accorde à le dire. Moins un mensonge à de détails, plus il sera crédible. Alors pourquoi est-ce que tu cherches autant à te justifier. Tu sais très bien le mal que tu couves. Mais est-ce si grave que ça ? Tu es sûr que dans le fond, tu peux réussir à gérer. Plus ou moins... Vous marchez le long du trottoir, un silence s'installant. Tu veux entamer une conversation, avant que ce soit elle qui le fasse, qu'elle te pose des questions un peu trop sérieuses.

- J'espère que je ne vous ai pas trop retardé. Vous avez réussi à enregistrer un peu sans moi ? Au moins la voix... Mais je pourrais m'occuper d'appeler le studio pour se caler un nouveau rendez-vous. Pour me rattraper."

Tu lui offres un sourire, afin de montrer que tu es plein de bonnes volontés et qu'elle n'a pas de soucis à se faire.

@Zoya Nowak & Luke ❥
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